samedi 28 mai 2016

Une partie de l'article publié dans l'éponyme Spraymium Magazine

Pour l’exposition « Ubiquités », l’homme aux mille alphabets nous livre son regard sur une discipline qui va bien au-delà d’une esthétique figée. À mi-chemin entre peinture et sculpture, il se concentre sur l’observation et le marquage de la ville telle qu’il a pu l’expérimenter durant ses années d’activisme.

Inexistant sur le florissant marché de l’art urbain, O’clock a accepté l’invitation de l’association Art Azoï et du galeriste David Bloch à investir l’espace Confluence. 

Un lieu de création artistique situé au cœur du XXe arrondissement de Paris, bien plus cohérent à ses yeux qu’une galerie d’art contemporain pour présenter sa vision du graffiti. Après treize jours de travail intensif à Marrakech, il présente ici six pièces originales, fruit d’une longue réflexion sur la façon d’illustrer sa pratique : marquer toutes les surfaces de la ville en s’immisçant dans ses moindres recoins.




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