samedi 18 juin 2016

L'artiste Arne Quinze

Arne Quinze est né en 1971 en Belgique, il vit et travaille à Saint -Martens- Latem, Belgique. Dans les années 80, il commence son éducation artistique en tant que graffeur, il n’a pas suivit un cursus d’enseignement officiel dans l’art. Arne Quinze crée de grandes et petites sculptures, mais aussi des dessins, des peintures et des installations à grande échelle. 

Les œuvres plus petites telles que ses esquisses et dessins sont la base de ses recherches pour ses grandes installations. Les lignes directrices de son travail sont tout d’abord le travail de différents types de bois, y compris du bois récupéré, l’utilisation de couleurs électriques à travers des peintures fluorescentes, mais avant tout et surtout le travail autour de la communication et de l’interaction sociale au travers de l’urbanisme. Depuis quelques temps, il a commencé des recherches sur de grandes installations en acier.

samedi 11 juin 2016

Le grand artiste Mare

Mare est un New-yorkais, sculpteur / peintre / chercheur / ambassadeur culturel des États-Unis, qui, en 1985 devient le pionnier d’une nouvelle version du graffiti urbain en tant que sculpture moderne.
Tout au long de sa carrière en tant que sculpteur, Mare a constamment apporté des innovations à l’esthétique du genre et au vocabulaire.

Ses sculptures métalliques sont inspirées par son goût pour la forme, la lumière, l’espace, dans un environnement architectural. Son admiration de l’art avant-gardiste et des sculptures du dernier siècle a inspiré la fusion de l’esthétique entre le « style graffiti » et les modernistes du début du 20e siècle.

En tant que membre de l’âge d’or du métro graffiti (1975-1985), il peint sous le surnom de « Mare » qui est un raccourci pour « Nightmare » (=cauchemars). Il a graffé aux côtés de beaucoup de maîtres de cette génération : Kel, Dondi White, Crash, Kase2, Noc167 et beaucoup d’autres.



samedi 4 juin 2016

Une exposition artistique qui ravira vos sens!

L’idée à la galerie d'art Marrakech David Bloch est toujours celle d’illustrer de la plus belle des manières les différentes manières de marquer la ville, la façon avec laquelle je m’adapte aux multiples surfaces en cherchant le medium qui convient le mieux aux passionnés de l’art moderne à Marrakech. Je ne cherche pas à montrer l’esthétique du graffiti, mais plutôt à évoquer tout ce qu’il y a derrière. La préparation en amont, l’étude des lieux, l’intrusion, les techniques, les outils, les supports… 

Le tag est l’aboutissement d’un long processus de réflexion et d’expérience, l’addition de plusieurs paramètres qu’il a fallu conjuguer les uns avec les autres pour obtenir un résultat qui s’opère en quelques secondes. C’est toute cette partie immergée de l’iceberg que j’essaye de mettre en lumière dans cette exposition.